Un tramway nommé désir, c’est l’histoire d’un été torride.
C’est l’histoire d’une chaleur étouffante qui augmente les tourments intimes.
C’est l’histoire d’une température qui monte encore et d’une tension qui se durcit : Blanche de prendre sans cesse des bains et Stanley de se dévêtir… Moiteur des corps qui lâchent prise, silhouettes et désirs, tout est plus ardent sous le soleil.
À Los Angeles, David Hockney avait découvert que chacun possédait une piscine, et que l’on pouvait s’y baigner toute l’année ; contrairement à l’Angleterre ! De fait, au début de l’été 1964, il entreprend la série des « Swimming Pools » qui l’ont rendu célèbre. Bienvenue dans la Californie rêvée de David Hockney ! Ce que l’on peut dire, c’est qu’il fait très chaud. Le soleil est à son zénith à en juger par le positionnement des ombres portées. Rien de mieux qu’une petite baignade…
Tennessee William va nager deux à trois fois par jour en Nouvelle Orléan. Il est la voix du Sud dans le théâtre : il est tropical. Il aime la plage et Cuba.